C'était en 1996, j'écoutais tranquillement l'émission Patchanka sur une obscure radio de banlieue qui me balançait sur un air de guitare bien rock, le riff acéré :
je parle de comptoir accoudé à PicassoDepuis j'ai pris ma carte à la CGT, et je me suis abonner au Monde, c'est dire que j'ai rien compris. Et le must, en 2002, j'ai même voté Chirac, ah ah !!!
j'ai des idées, des convictions de fer
Je suis contre le mur et contre toute attente
je suis le fossoyeur des lendemains qui chantent
j'ai des idées des convictions d'enfer
Je suis un intellectuel de gauche
1995, la grande époque du pock Rock Messin, des cadavres, PKRKR et des Zabriskie Point.
Site des Zabriskie
Sur Babots
Zabriskie Point - 1995 - Fantôme
dialektik
1. - Fantôme (1:57)
2. - Une vie sans pogo (2:54)
3. - Economiste (3:18)
4. - Capital violence (5:12)
5. - Edouard mon amour (3:10)
6. - Intellectuel de gauche (2:14)
7. - Adieu Chantal (3:43)
8. - Lutte des classes (4:06)
9. - Zabriskir (2:30)
10. - J'suis con (2:34)
11. - Taxi driver (4:58)
12. - Inacceptables (2:37)
13. - Le prix à payer (3:17)
14. - L'éternel retour (4:49)
A noter quelques imperfections, pour cause de CD un peu fatigué
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3 commentaires:
Grande époque u punk rock messin, certes, mais les Zab étaient Nantais!
Chouette blog, ceci dit!
Grande epoque oui, quel enorme regret de ne jamais les avoir vu en concert, vraiment...
Je me rappelle, en 99...
grand fan des zab, l'annonce de leur séparation fut pour moi comme un coup de massue.
Etant à cette époque Messin, je n'avais pu les voir en concert, et je sentais confusément que ce ne serait jamais possible. Sauf que... le travail m'amenait en Bretagne en plein pendant leur tournée de séparation, et en particulier le fameux week-end où ils jouaient en Vendée... Le destin?
Ce fameux vendredi, j'étais encore pris avec mes collègues, en train de discerter de sujets en rapport avec notre taff... quand je me suis rendu compte que le concert allait commencer! impossible de couvrir toute cette distance en si peu de temps, la mort dans l'âme, j'ai du me résigner.
11 ans plus tard, je m'en veux toujours de ne pas avoir pu assister à ce concert.
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