dimanche 17 août 2008

Qu'est que c'est que cette tache ?



Les gros qui tachent - 1993 - Les gros qui tachent

1. Baxter (2:29)
2. Mademoiselle joue (1:45)
3. gin et whisky (2:26)
4. terreur dans la nuit (5:08)
5. leone (2:16)
6. belle rouse (3:27)



Chargez !!!!



Charge 69 - 1997 - Apparence jugée

1. Intro (1:09)
2. Patchwork (3:12)
3. Seul (3:37)
4. Sans compromis (1:55)
5. Johnny good boy (4:18)
6. Idylle secrète (2:30)
7. Unite (2:44)
8. Amitie (2:42)
9. Apparence jugée (3:39)
10. Politiciens (2:44)
11. Avancer (2:14)
12. Fin de siecle (2:46)
13. Zombie (2:48)
14. Les sectes (3:15)
15. Un monde meilleur (4:53)



dimanche 3 août 2008

Reggae Roots Nyabinghi

Revoici des anciens de la scène du reggae français. Les Sons Of Gaïa ont commencé en 1998 après avoir sorti 2 maxis remarqués : "Sons Of Gaïa" en 1999 et "Roots Reggae Nyabinghi" en 2000.

Les Sons Of Gaïa sont de Marseille et s'inspirent à leur façon du folklore local, à l'image des chants occitans qui. La formation du groupe va de six à neuf musiciens et on trouve sur chaque morceau une section cuivres. Les Sons Of Gaïa varient les styles, on peut ainsi passer du ska de The Oldman au roots Un œillet pour Kaya en hommage au chanteur de Seggae disparu. Un morceau comme L'Oranger sort très largement du répertoire reggae au premier abord mais débouche sur un roots des plus dynamiques.

Les lyrics sont souvent imagés, pleins de symboles, de métaphores et de poésie. Ils sont tantôt chantés en français, en occitan, en portugais (Maê Alentejo) ou en anglais (I Got High). Le mix est précis et pensé dans un large espace sonore. La voix lead sera plaintive pour les uns, nonchalante pour les autres, à vous de voir… Les Sons Of Gaïa nous rappellent qu'ils connaissent la tradition rasta et empruntent un rythme nyabinghi pour la ballade à la guitare sèche : Black Cinderella.

Article source Reggae.fr


Sons of Gaïa - 2000 - Reggae Roots Nyabinghi

1. Immiground (5:13)
2. Ethiopan Road (5:36)
3. Dub Swaby (2:49)
4. Almighty guide (6:58)


. : [ Sons of Gaia ] : .

Il faut le noter le blog Hang over Heart attack propose un beau récapitulatif de

  • Parabellum
  • Paris violence
  • Komitern Sect
  • La Fraction
Du travail d'artiste

African reggae beat

Human Spirit est un groupe français ayant vu le jour en 1986 à Paris XIVe. Leur musique est une fusion entre le reggae, le funk, le jazz et un brin de rock, résolument engagé et toujours soutenu par une sérieuse section de cuivres, qualifiée de "urban reggae". Le groupe connut ses heures de gloire essentiellement sur scène au cours des années 1990 ou encore avec des morceaux tels que "RMI", "Police", "Rien à péter" fortement soutenus par Radio Nova. Souvent associés à "l'Hôpital Ephémère" ils firent partie, au côté de FFF, Juan Rozoff, Malka Family de ce qui fut alors qualifié de "nouvelle scène groove parisienne".

Le flûtiste Magic Malik qui fit partie du groupe pendant dix ans est aujourd'hui une figure importante de la scène française du jazz, en compagnie d'un autre ancien membre, le saxophoniste Denis Guivarc'h.

Wikipédia


Human Spirit - 1992 - No pasaran

1. African beat (4:01)
2. Rien à péter (5:01)
3. W.A.S (3:35)
4. Sar'Hamouli (1:41)
5. Prends le reggae (5:19)
6. Soula djengo (0:42)
7. Apocalypse (4:24)
8. Come on and dance (4:53)
9. Zig folies (1:18)
10. Police (4:35)
11. Sur la piste du Boul'hana (9:46)
12. Système à fric (6:41)
13. Le roi Berger (1:34)




vendredi 1 août 2008

L'hippie bourré


Comme je suis bien lancé dans ce "trippe" reprises bizarres, décadentes, rendez vous sur le site du hippie bourré :

Et voilà, c'est finit. Enfin pour les reprises je peux reprendre une activité normale.

Aime les cons, et tu t'aimeras toi même


Après avoir écumé les dancings du pas de Calais à bord de leur R11 tunning, ils décident de créer leur propre orchestre de bal pour animer eux même les soirées jeunes. Incapables d'aligner 3 accords, le top 50 devient une boucherie . Le premier groupe de Didier Super est inclassable, un peu comme mon post précédent "explosion de caca", la base est un peu la même "faire des reprises avec trois accords, et balancer tout ça, à donf et désordonné !"

Lorsqu'on urine sur les bureaux d'universal music, on ne peut pas être foncièrement mauvais.

On a la promo qu'on peut. Pour son troisième album "Ben Quoi ?" qui doit sortir dans les bacs le 28 avril, Didier Super a choisi d'exploiter à son avantage le courant de révolte contre les maisons de disques. Armé d'une caméra confiée à un complice, il se film en train d'uriner en plein jour sur les murs parisiens d'Universal Music. Effet garanti. "Je pouvais pas deviner que c'était ouvert, c'est une maison de disques, elles sont toutes fermées", crie-t-il au vigile qui vient l'expédier manu militari.

Derrière la provocation gratuite se cache tout de même, en cherchant bien, un vrai message de fond contre les majors. L'artiste demande aux internautes "un petit geste pour les aider à mourir dignement", et précisant qu'on ne "les empêchera pas de mourir".

"En achetant mon disque, vous vous offrez par rapport à quand tu télécharges une boîte en plastique transparent de bonne qualité, et surtout un CD neuf. Alors franchement, pourquoi télécharger ?" demande-t-il avec beaucoup d'ironie, et peut-être de rancœur à l'encontre de sa propre maison de disques, V2... un label racheté par Universal Music.

"La vie du disque m'importe peu. Je gagne 50 centimes d'euro par disque vendu, alors ça m'est égal que les gens le téléchargent. L'important, c'est le concert. Là, on essaie d'apporter quelque chose en plus, de ne pas être simplement consommé. C'est-à-dire que les gens paient leur place pour danser et recevoir des décibels", expliquait Didier Super dans une interview publiée en janvier 2007.

Guillaume Champeau - publié le Vendredi 18 Avril 2008 à 14h08 - Sur Numérama

La discomobile - 2001 - Show maxi music

1. Intro (0:46)
2. Com' d'hab (2:00)
3. Que je t'aime (2:35)
4. 1 femme avec 1 meuf (1:36)
5. MEDLEY (2:43)
6. Style loving you (2:18)
7. Fumez dans les waters (2:15)
8. La danse des canards (2:19)
9. J'ai encore rêvé d'elle (1:47)
10. Elle a les yeux revolver (2:39)
11. Esmeralda (3:27)
12. MEDLEY (2:26)
13. Partenaire Particulier (2:47)


A Suivre ....

Coprolalie

De 1996 à 2003, Le groupe "Explosion de caca" évolue dans un style totalement déjanté, reprenant à leur sauce des génériques de dessins animés ou de chansons ayant bercé notre enfance. Affublés de déguisements sortis tout droit d’un mauvais conte de fées, ces trois joyeux drilles écument les scènes locales et se font petit à petit une solide réputation.

Leur musique n’est pas seulement déjantée, elle est également appliquée : les reprises sont interprétées avec un certain talent d’exécution, nulle question ici d’amateurisme. Elle est également variée : les morceaux vont du reggae au metal, « entre Slayer et Pierre Bachelet » pour reprendre les termes d’un article de presse consacré au groupe.

Leur premier album voit le jour en 1999 : il s’agit d’un enregistrement live de leurs meilleures reprises, enregistré au Festival Sid’Action de Lausanne en juin de la même année. Cet album sera pour eux un tremplin : le groupe sera de plus en plus sollicité pour des concerts, et bientôt toute la Suisse romande (ou presque) connaît le groupe, ne serait-ce que de nom.

Les meilleures choses ayant une fin, 2003 sera l’année de la séparation, à l’issue de deux ultimes concerts, dont l’un fut enregistré pour donner naissance à un album live-posthume, enregistré cette fois-ci au RKC de Vevey.


Explosion de Caca - 1996 - Vu à la Télé
Explosion de Caca - 2003 - Ultimes Pétarades

Les albums sont téléchargeables librement